L’on s’est bien que la liberté d’expression est encouragée en Europe où se trouvaient le Ministre Bea Diallo et son Secrétaire Général. Mais depuis leur prise de fonction en Guinée, ils sont les premiers à s’énerver lorsque la presse dénonce certaines choses dans les médias.
Firawa Sport avait félicité le ministère pour avoir facilité le regroupement du Syli Espoir au Maroc au mois de Décembre 2022. On apprécie quand c’est bon.
Mais aujourd’hui, ils vont au-delà même en demandant aux fédérations sportives d’interdire aux athlètes de passer dans les radios ou sur les sites pour accorder des interviews aux journalistes. Parce qu’ils ont peur que ceux-ci dénoncent les manœuvres qui se passent, nous avons les audios.
Qui se sent propre n’a pas peur qu’il soit critiqué, puisqu’il peut avoir son droit de réponse conformément à la déontologie du métier. Certains médias sont aujourd’hui mis sur la liste noire au niveau de ce département dirigé par le duo Bea Diallo – Billy Kaba.
Fin 2021, Firawa Sport a été informé par ses sources de l’ANSS sur la maladie du Ministre Bea Diallo qui était positif au Covid-19. Lorsque nous avons publié l’information, sa cheffe de cabinet s’est précitée à nous appeler avec menaces et annonce contre nous à la DPJ. C’était du bluff, car nous étions plus dans le régime Alpha Condé.
En gérant la chose publique, il faut accepter les critiques, car cela vous permettra très certainement de corriger les imperfections et non menacer ceux qui vous disent la vérité. Cette leçon doit être comprise par Bea Diallo et Billy Kaba, qu’ils sachent surtout qu’ils iront bientôt et la presse continuera à exister.
L’exemple du puissant et intouchable Sanoussy Bantama Sow doit les servir de leçon.Nous terminons par cette citation de Harry Bernard : « Il ne faut pas avoir peur de la vie. Quand elle menace, on l’affronte ».